Ombres dans le noir

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il y a 8 ans

Il était près de minuit, et la soirée battait son plein dans le petit appartement.

L'alcool qui coulait à flots depuis le repas avait fait tourner la tête à bon nombre des amis, et encore plus aux inconnus qui s'étaient joints à la fête, comme si ces derniers avaient quelque chose de plus à prouver. A présent tous discutaient tranquillement avec plus ou moins de cohérence, certains roulaient des pétards pendant que d'autres tentaient sans grand succès de jouer à la console. Les deux amoureux, quant à eux, étaient pour le moment en train de s'embrasser goulûment dans l'entrée. Échauffée par la chartreuse, elle était dans cet état semi conscient et à moitié incontrôlable qu'il avait appris à apprécier. Acculé au mur, il "résistait" faiblement aux assauts de la langue aventureuse de sa compagne, tout en passant les mains sous sa jupe et son t shirt. Dans la pénombre, le passage des invités vaquant à leurs occupations vacillantes ne les dérangeait même plus. Elle semblait vouloir l'escalader, déployant dans ce but des trésors d'agilité et de gloutonnerie.

Tout en lui couvrant le visage de bave, elle caressait le pourtour de l'aine de son fiancé, et pressait son bassin de plus en plus fort contre l'érection grandissante que parvenait encore à cacher son short. Il lui palpait les fesses, dénudées à part un string plutôt discret, et savourait la douceur du haut de ses cuisses, se prenant de plus en plus au jeu. Elle commençait à lui mordre les lèvres lorsqu'il décida de chercher un endroit plus tranquille pour profiter de sa belle éméchée.

La première chambre était occupée par une bande de gens bourrés braillant un karaoké mal orchestré. Fuyant cette débauche de vocalises maladroites, ils coururent joyeusement en tanguant dans le couloir. Plus loin se trouvaient deux portes entrouvertes, face à face. Poussant l'une d'elles, il aperçut un grand lit couvert de trois ou quatre personnes dormant à poings fermés, tout habillés. L'autre chambre était par bonheur inoccupée, et il y fit entrer sa douce. Elle se collait à son corps comme une sangsue, déjà affairée à déboutonner sa chemise et passer les mains dans son short.

Dans la pénombre de la pièce, il voyait son regard briller de gourmandise et d'envie. Il jeta un dernier coup d'oeil derrière lui, et voyant la porte restée entrebâillée, il eut un sourire fugace. Revenant à sa belle, il se remit à la caresser sous ses vêtements, ce qu'elle avait l'air de trouver tout à fait à sa convenance. L'ivresse s'emparait de leurs sens, les faisant s'ouvrir au maximum. Elle lui baissa le short sur les jambes, et approcha son visage de son entrejambe, contemplant fixement sa prise comme pour l'examiner. Puis elle se mit à lui lécher les bourses, tout en agrippant ses fesses découvertes par la chute du vêtement. Il se laissait faire, jouissant pleinement de ces délicieuses caresses, les yeux mi-clos.

La jeune femme maniait son membre d'un coup de langue expert, passant de longues léchades à de courtes succions et couvrant parfois son sexe de baisers divinement tendres. La pulpe de ses lèvres accueillait son gland comme si c'était l'entrée du paradis, un paradis de douceur et de sensations merveilleuses. Ces caresses buccales excitaient de plus en plus le couple, chacun poussant de petits gémissements. Sans arrêter de le sucer, elle plongea les mains sous sa jupe et entreprit de se caresser, ce qui eut l'air de la rendre encore plus gourmande. Il prit sa tête dans ses mains sans vraiment s'en rendre compte, et imprima à son bassin un mouvement de va et vient pas tout à fait volontaire. Il sentait le fond de la gorge de sa dulcinée, et elle semblait vouloir l'avaler toujours plus. C'était beaucoup trop bon!

"Et si on essayait le lit?"

Il la poussa à s'allonger, et dans le même geste lui retira son string trempé. Elle s'allongea docilement sous le regard de son amant, offrant totalement son corps à son bon vouloir. Son pénis tendu vers elle, il se pencha en avant, frôlant ses cuisses du bout de son sexe. Il adorait frotter son membre sur ses lèvres mouillées, et après quelques délicieuses glissades, il avait encore plus envie de plonger la langue dans son antre sacré. Tout en caressant ses cuisses et son mont de vénus, il commença à lécher et aspirer son clitoris déjà gonflé.

Elle lâcha quelques petits cris d'extase lorsqu'il passa sa langue brûlante sur son sexe. La chaleur exquise éveillait un torrent de sensations en elle. Il y ajouta les caresses de ses doigts partout autour de son sexe, explorant tendrement son intimité avec la douceur combinée de sa langue et de ses phalanges. Sa compagne ne bougeait presque pas, elle gémissait faiblement et se tortillait sur le matelas. Projetée dans une dimension de plaisir, elle semblait s'y perdre totalement sous l'effet de l'alcool. Au fil des caresses, elle rapprochait de plus en plus ses mains de son buste, et finalement prit ses seins à pleines mains pour les malaxer et les presser. Sa bouche entrouverte laissait passer des filets d'air au fil de sa respiration des plus chaotiques. La langue de son bienfaiteur virevoltait sur son trésor de sexualité, et il pressait ses lèvres contre les siennes en enfonçant sa langue durcie comme un membre viril. Lorsqu'il prenait le temps de respirer, il enfonçait deux doigts très doux et trempés dans le sexe offert, pour venir titiller les délicates collines internes de sa belle.

"J'ai envie de toi!"

Elle avait très envie d'être pénétrée, elle aussi! A peine s'était-il redressé que son gracieux bassin féminin se pressait déjà contre l'érection de son amant. Il la prit par les hanches et entra avec une grande jouissance en elle. Les va et vients se firent immédiatement très amples et profonds. Elle accompagnait ses coups de reins de mouvements chaloupés du bas du corps, préservant sa tête qui ne devait pas trop bouger pour ne pas lui faire regretter tous les verres vidés pendant la soirée. Elle gémissait de plus en plus fort, et cherchait à rendre les mouvements de son partenaire de plus en plus v i o l e n t s . Par moments on aurait dit qu'elle voulait lui arracher les lèvres, lui dévorer la gorge, et faire exploser son sexe.

"Tu es déchaînée ce soir! Tu veux me chevaucher?"

Ils basculèrent ensemble pour échanger de place, se retrouvant au bord du lit. Il s'enfonça à nouveau en elle, tous deux appréciant les nouvelles sensations que leur valait ce changement de position. Elle montra vite l'énergie folle qu'elle pouvait déployer dans cette position dominante (et en état d'ébriété). Imprimant un rythme d'enfer à leurs ébats, elle se retenait visiblement avec effort de secouer la tête pour faire cascader sa chevelure le long de ses reins. Il la soutenait par le bas des hanches pour économiser un minimum ses f o r c e s, et également pour profiter des formes de ses fesses.

Lorsqu'elle se fatigua finalement un peu, ils ralentirent le rythme, savourant d'autant plus l'union de leurs sexes. Elle remarqua alors une ombre plus noire que les autres dans la pièce. A son sursaut, il lui dit d'un ton rassurant :

"Ne t'inquiète pas, c'est un invité. Il est là pour ton plaisir. J'aimerais que tu l'accueilles comme s'il s'agissait d'une extension de moi!"

Elle tourna la tête vers les ténèbres, scrutant la silhouette tout en essayant de comprendre ce qu'il se passait. Depuis combien de temps était-il là? Et est-ce qu'il y en avait d'autres? Elle n'eut pas le temps de poser ses questions, et se trouva nez à nez avec un braquemart déjà très tendu, ce qui répondait au moins à la première - il devait être là depuis un moment... Sous elle, son amant semblait attendre qu'elle agisse, et il lui communiquait sa confiance en lui caressant doucement les flancs et les seins. Curieuse, elle effleura l'offrande du bout de la langue. Le gland avait l'air doux, chaud et alléchant.

"Suce le, ma chérie!"

Elle commença à inspecter le membre inconnu à petits coups de langue, ce qui l'anima très vite de soubresauts. Son envie était évidente, presque palpable. Lorsqu'elle posa ses lèvres sur le gland, son amant lui pinça les seins. Il semblait ne rien manquer du spectacle. Elle ouvrit plus grand la bouche et avala la moitié de son repas, puis continua en léchant et en suçant tandis que son fiancé la caressait toujours. Les bruits de succion étaient à moitié couverts par les gémissements involontaires de la jeune femme, qui ne se rendait pas encore compte du plaisir qu'elle prenait à ce petit jeu. Son amant n'en perdait pas une goutte, et il sentait son désir grossir et durcir encore dans le ventre de sa promise.

Lorsque la bouche gourmande eut trouvé son rythme, il recommença à bouger en elle. Elle n'avait pas du tout perdu de sa lubrification, au contraire! Toute excitée, elle réagit au quart de tour et se remit à danser autour de la verge de son amant. Un peu en dehors du temps et de l'espace, elle ne se posait plus aucune question, et savourait le plaisir de sentir ces membres durs pénétrer sa bouche et son sexe. Des mains attentives caressaient ses cheveux et agaçaient ses tétons, couvraient son corps et son visage de caresses.

Elle se laissait de plus en plus aller entre ces deux paires de mains, et ses propres mains couraient en toute liberté du torse de son amant à son propre clitoris, en passant aléatoirement par toutes les parties charnues accessibles du trio. Elle tâtait la verge de l'inconnu, les lèvres de son amant, totalement affolée par le déluge de sensations qui avait pris son corps pour cible. Glissant deux doigts dans la bouche de l'homme à sa merci, elle devint encore plus v i o l e n t e à mesure que montait son plaisir, comme emportée par la vague de ses émotions. Suçant et léchant consciencieusement, son sexe dansait aussi superbement pour enivrer les sens des hommes.

Son amant la tenait par les fesses, et se contorsionnait de plus en plus pour atteindre son anus. Pour lui faciliter la tâche, elle se mit à moins bouger, le laissant danser pour elle. Après quelques caresses de surface laissant présager du meilleur, des doigts pleins de salive vinrent la badigeonner copieusement entre les fesses. Comme elle était déjà très ouverte et surexcitée, les caresses se firent rapidement plus insistantes, s'enfonçant sans aucune résistance dans son fondement. Elle nota tout de même avec quelque surprise que les mains de son amant lui tenaient les fesses, et que c'étaient d'autres mains qui s'occupaient du reste. L'esprit ailleurs, elle ne pouvait que savourer ce nouveau plaisir qui allait décupler encore ses sensations.

La chair des doigts qui se pressaient entre ses fesses fit place à un objet, sans doute rond ou ovale, qui entra dans son anus sans beaucoup d'effort. Aspirées à l'intérieur, d'autres boules allaient encore entrer en elle. L'inconnu les poussait avec tact, sans cesser de caresser le pourtour de ses fesses et de ses lèvres. Il les pressait, les guidait de ses doigts, massait délicieusement son anus. La jeune femme était totalement prise d'assaut par toutes ces attentions et ces objets qui la pénétraient. Finalement, il poussa la dernière bille à l'aide d'un objet plus gros, et beaucoup plus chaud. Elle soupira de plaisir en sentant ce gland tâter l'intérieur de son rectum, et entreprit de remuer les fesses pour sentir ces caresses se multiplier.

Avalant de plus belle la verge à sa disposition, elle reprit un rythme endiablé de va et vient, à présent ponctué par les gémissements de plaisir de 4 personnes. Voyant sous elle le corps de son amant tendu à se rompre, elle se dit que le final approchait. Elle sentit l'explosion de plaisir dans sa bouche et dans son sexe au même instant, ce qui la rendit complètement folle de bonheur. Sa tête enserrée dans les mains d'un des inconnus, elle arrêta de bouger, goûtant avec délices à leur jouissance. Une explosion d'une autre nature se produisit entre ses fesses, lorsqu'on retira v i o l e m m e n t les boules, ce qui déclencha également son orgasme. Son sexe prit la relève de celui de son amant et se contracta par vagues, palpitant autour du membre adoré. Du sperme gicla enfin sur ses fesses, inondant encore plus son corps de jouissance.

Epuisée, elle retomba sur le corps de son amant. Son état de jouissance était tel qu'elle n'aspirait plus à rien. Rester là, toujours, semblait des plus tentants.

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